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Journal des changement

jeudi 6 août 2020
Actualité - Un cancer, c'est un véritable monde de diversité cellulaire
mercredi 5 août 2020
Actualité - Des champignons dans les poumons
mardi 4 août 2020
Le systeme osseux ou squelette - Complément à la description de la colonne vertébrale
mardi 4 août 2020
Actualité - Notre microbiome nous manipulerait-il ?
lundi 3 août 2020
Le systeme osseux ou squelette - Schéma de la structure des os plats Schéma de la structure générale des vertèbres : vue supérieure Schéma de la structure générale des vertèbres: profil
vendredi 15 novembre 2019
Actualité - CHU UCL Namur et Revalidation Pulmonaire
mercredi 16 octobre 2019
Actualité - Technologies et bien-être pour la procréation
jeudi 10 octobre 2019
Actualité - Surcharge de médicaments chez les aînés
lundi 7 octobre 2019
Actualité - Les gynécologues et la ménopause
jeudi 3 octobre 2019
Actualité - Approche novatrice contre l’anorexie
mercredi 2 octobre 2019
Actualité - Manger mieux, vivre plus vieux
mardi 24 septembre 2019
Actualité - Premières angioplasties coronaires robotiques
lundi 23 septembre 2019
Actualité - Hypercholestérolémie familiale
vendredi 20 septembre 2019
Actualité - Cinq centimètres pour la valve aortique
jeudi 19 septembre 2019
Actualité - Sécurité alimentaire à l'école
mercredi 18 septembre 2019
Actualité - Make Sense Campaign
mardi 17 septembre 2019
Actualité - L'AFSCA et les cantines scolaires
lundi 16 septembre 2019
Actualité - Vivre avec le trouble bipolaire
mercredi 11 septembre 2019
Actualité - Diabète et insuline
mardi 10 septembre 2019
Actualité - De la rétine au cerveau
lundi 9 septembre 2019
Actualité - Transport de matière irradiée
dimanche 8 septembre 2019
Actualité - Développement du langage
samedi 7 septembre 2019
Actualité - Donneurs d'organes "vivants"
vendredi 6 septembre 2019
Actualité - Le cerveau filtre les sons
jeudi 5 septembre 2019
Actualité - L'AFSCA met en garde
mercredi 4 septembre 2019
Actualité - Le cancer, première cause de décès
mardi 3 septembre 2019
Actualité - Les enfants et la santé mentale
lundi 2 septembre 2019
Actualité - Pour les garçons aussi
samedi 31 août 2019
Actualité - Cancer et soins dentaires
vendredi 30 août 2019
Actualité - Survie des enfants cancéreux
jeudi 29 août 2019
Actualité - Médicament mal étiqueté
mercredi 28 août 2019
Actualité - Nouvelle approche de l’ostéoporose
mardi 27 août 2019
Actualité - Retrouver la parole
lundi 26 août 2019
Actualité - Coût des traitements anticancéreux
La lutte contre le cancer pèse déjà plus d'un milliard d'euros de remboursements. Le remboursement des médicaments anticancéreux a coûté plus d'un milliard d'euros l'an dernier en assurance maladies, soit trois quart de plus que ce qui avait été remboursé en 2016, rapportent lundi Het Nieuwsblad et De Standaard. En 2016, les fonds d'assurance maladie belges ont dépensé environ 600 millions d'euros en médicaments anticancéreux. Deux ans plus tard, ce montant grimpe déjà à plus d'un milliard, or il ne s'agit encore que d'une estimation, alors que toutes les dépenses n'ont pas encore été comptabilisées pour 2018. Une des raisons invoquées pour cette augmentation notable est le recours à l'immunothérapie, qui stimule le système immunitaire pour vaincre les tumeurs. Bien que seule une proportion limitée de patients bénéficie d'immunothérapie, les dépenses sont maintenant beaucoup plus élevées que celles liées à la chimiothérapie. La ministre de la Santé, Maggie De Block (Open Vld), envisage de ne procéder à un remboursement que pour les traitements grâce auxquels le patient va réellement mieux. Si ce n'est pas le cas, le producteur pharmaceutique devrait lui-même en assumer les coûts. Source: Belga
samedi 24 août 2019
Actualité - Besoin d'argent pour lutter contre la malaria
Il faut plus de moyens financiers pour développer des médicaments contre la malaria si on veut vaincre cette maladie, affirme l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Selon l'organisation, peu de progrès ont été enregistrés en deux ans. Elle demande donc d'investir massivement afin de développer un vaccin efficace. Actuellement, moins de 1% des fonds destinés à la recherche et au développement dans le domaine de la santé vont à la recherche sur la malaria. Continuer sur cette voie ne freine pas seulement le progrès mais contribue à une régression, selon l'expert Marcel Tanner. Le vaccin actuellement disponible n'est efficace qu'à 40%, selon lui. L'OMS estime qu'environ 34 milliards de dollars (31 milliards d'euros) sont nécessaires. On pourrait ainsi éviter d'ici 2030 deux milliards de malades et 4 millions de morts. A peu près 400.000 personnes meurent chaque année de la malaria. Environ 61% d'entre elles sont des enfants de moins de 5 ans. Quelque 90% des victimes de la maladie proviennent d'Afrique sub-saharienne.
jeudi 22 août 2019
Actualité - L’UZ Brussel et l’intelligence artificielle
L’UZ Brussel est le premier hôpital au Benelux à avoir commencé un projet pilote où des anesthésistes utilisent l’intelligence artificielle pendant une opération afin de prédire une tension artérielle trop basse (hypotension) en cours d’intervention, un quart d’heure avant qu’elle  se produise. Cela leur permet d’intervenir préventivement et d’éviter des complications à long terme. De cette façon, le patient échappe à des lésions éventuellement permanentes des organes vitaux, comme les reins par exemple.  “Pendant une opération il est important de garder la tension artérielle aussi constante que possible, tant pour le déroulement de l’opération que pour l’impact après l’intervention. Il ressort de la littérature scientifique que les chutes de tension artérielle sont monnaie courante pendant les interventions chirurgicales, surtout chez les patients à risque comme les personnes âgées qui subissent une lourde intervention, ainsi que chez les patients atteints de pathologies cardio-vasculaires. Une tension artérielle trop basse pendant une intervention peut aussi provoquer une complication après celle-ci, avec éventuellement des conséquences néfastes pour les organes vitaux. Ceci peut ainsi avoir un impact sur la fonction rénale, avec une dégradation permanente de celle-ci en corollaire,” explique le Dr Domien Vanhonacker, anesthésiste à l’UZ Brussel.  “Le patient a donc tout intérêt à l’éviter. Grâce au recours à un super ordinateur qui analyse différents paramètres hémodynamiques relatifs au statut d’hydratation, la fonction cardiaque et l’élasticité des vaisseaux, via l’intelligence artificielle, nous pouvons tenir compte de beaucoup plus de caractéristiques pour visualiser la circulation sanguine et, pour ainsi dire, regarder dans l’avenir. Le logiciel est relié à un petit cathéter qui se trouve dans un vaisseau et qui est déplacé de façon standard lors de longues interventions. Nous pouvons ainsi prédire le risque d’une chute de la tension artérielle jusqu’à un quart d’heure avant qu’elle ne se produise et intervenir proactivement, par exemple en corrigeant la balance hydrique, en administrant des médicaments pour mieux régler la fonction de pompe du cœur ou encore en faisant mieux se contracter les vaisseaux”, poursuit l’anesthésiste.
mardi 20 août 2019
Actualité - Danger des substances peptidiques
Danger des substances peptidiques injectables Selon une étude récente de l’Institut belge de santé Sciensano, les préparations injectables illégales vendues sur internet peuvent présenter un risque grave pour la santé. Ces préparations illégales à base de peptides sont populaires pour, par exemple, atteindre rapidement et facilement un idéal physique ou pour renforcer les aptitudes sociales. L’analyse a révélé des irrégularités dangereuses. Cette étude a examiné les 10 préparations peptidiques illégales les plus souvent saisies, notamment des produits de dopage illicites, la ‘drogue Barbie’ Melanotan II et l’ocytocine, aussi appelée l’hormone de l’amour. Ces préparations, de marques populaires (selon des forums en ligne), ont fait l’objet d’une analyse (bio)chimique afin de déterminer, outre la substance active, si des substances nocives entraient dans leur composition. Il s’est avéré que les préparations contenaient des médicaments ou substances non autorisés, encore souvent en phase de test clinique ou n’y ayant jamais été soumises, qu’elles étaient mal dosées, qu’elles contenaient des substances autres que les substances actives supposées, qu’elles contenaient des éléments toxiques, par exemple le plomb et l’arsenic, et qu’elles contenaient des bactéries toxiques. Même si cette étude se concentrait uniquement sur les préparations mentionnées ci-dessus, on peut raisonnablement penser que d’autres produits thérapeutiques illégaux/falsifiés comme l’insuline, le Botox®, les hormones de croissance ou encore les anticorps utilisés pour le traitement du cancer et des maladies inflammatoires (par exemple, les maladies auto-immunes) pourraient également être concernés. N’utilisez pas de préparations peptidiques injectables illégales. Dr. Steven Janvier, scientifique chez Sciensano et auteur de l’étude, met en garde sur les dangers liés à l’injection de telles préparations peptidiques illégales : « Les préparations peptidiques injectables illégales, qui font souvent l’objet d’une promotion via internet, peuvent être dangereuses. Elles sont souvent présentées comme un moyen idéal pour atteindre rapidement et facilement un idéal physique (plus de masse musculaire, mois de masse grasse ou encore une peau plus bronzée grâce à la ‘drogue Barbie’ Melanotan II) ou pour renforcer les aptitudes sociales (via l’ocytocine, l’hormone de l’amour) ou faire office de médicament thérapeutique efficace, par exemple pour le traitement de blessures musculaires. Les utilisateurs n’ont aucune garantie quant à l’efficacité, la qualité et l’innocuité de ces préparations peptidiques injectables illégales. En effet, l’efficacité et la sécurité de la majorité d’entre elles n’ont pas été testées par des organismes reconnus, et elles ont souvent été produites dans des laboratoires clandestins sans les systèmes de contrôle et de qualité requis. » Ces produits illégaux peuvent causer de graves problèmes de santé aigus et/ou chroniques, tels que le cancer, la méningite, la pneumonie, des amputations, etc. Sciensano met donc en garde contre les risques liés à l’utilisation de substances illégales à base de peptides et recommande vivement de ne pas/plus s’en procurer sur les sites internet de pharmacies illégales.
lundi 19 août 2019
Actualité - Pas de discrimination entre patients cancéreux
samedi 20 juillet 2019
Introduction - Nouvelle illustration de la structure des acides aminés