Publié le jeudi 5 septembre 2019 8:47 par Jean Andris
Mis à jour le jeudi 5 septembre 2019 8:51 par Jean Andris
"En un an, la cellule dédiée à l'e-commerce a traité 108 dossiers: 48 en 2018 et 60 rien qu'entre janvier et juillet de cette année", explique Stéphanie Maquoi, porte-parole de l'Afsca. Celle-ci débusque les irrégularités via plusieurs sources: des plaintes de consommateurs, les notifications du système d'alerte européen pour la sécurité alimentaire (le Rasff pour Rapid Altert System for Food and Feed) et, bien sûr, ses propres recherches sur Internet.Selon la porte-parole de l'Afsca, "les cas les plus alarmants et les risques les plus aigus concernent des compléments alimentaires". L'agence déconseille "de consommer des compléments alimentaires pour lesquels aucun numéro de notification n'a été attribué".